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Contexte ALFA
ALFA est une tentative de conceptualisation architectonique (architectonie) unifiée.
A ce titre elle se veut partageable et compatible a minima entre toutes les modélisations d'intelligences naturelles et artificielles de la réalité (homéodynamique des éléments du réel (ou scientifiquement étudiable)). Elle repose sur la conjecture architectonique (première) que tout est lié d'une manière simultanément polylectique et ouverte (ou "agorique", comme sur une agora) par une "interligence" complexe dont la diktyologie (l'"en réseau") est génératrice des "faits" d'Etre (le niveau ontologique y est donc descriptif et non explicatif).
Cette architectonie ne considère que la phénoménologie des attributs de ces faits (ce que l'on perçoit y compris avec l'intelligence) et non ses aprioris (d'où vient l'être).
Pour nos cérébriques humaines (intellect) et artificielles (informatique) :
- les connaissances ne sont qu'un écho des faits du monde dont une sapitation paramétrable extraira une sapience de savoirs en multicohérence de confiance ;
- penser sera subjectiver un possible (raisonné subjectivement à partir des méta/syllo-données provenant de la mesure des Êtres et des qualia personnelles) ;
- faire sera lier objectivement des syllodonnées au sein de l'interligence [ce par quoi tout est lié] de la multitude des faits de la réalité temporelle.
Le chemin de l'évolution de la réalité, c'est à dire la contexture où sont interliés les composants réels de l'univers, résulte de son capax.
Ceci signifie simplement que lorsque l'interligence, donc ce par quoi "tout est lié", se trouve en défaut de solution ordinaire, elle ne s'arrête pas, mais procède selon un "schème" d'"auto-organisation critique", étudié notamment par Per Bak. Elle fait appel à un processus de négentropie diktyologique ("en réseau") :
- soit de vicariance naturelle (une fonction existante s'adapte en la fonction manquante), cf. Alain Berthoz.
- soit d'algébrique ou une solution restée inconnue, est résolue par une "catastrophe (événement bouleversant le cours des choses) mathématique" étudiée par René Thom.
Il s'agit là de l'exploitation d'une extension sous-jacente au domaine considéré (le tout réel de ses possibilités s'avérant ainsi plus vaste que la somme jusques-là explorées des possibilités de ses parties) à laquelle il va devoir s'accoutumer selon l'homéodynamique (recherche d'extensions de ses options homéostatiques) de la sélection naturelle
Le capax semble s'appuyer sur un principe de simplexité (rendu simple de la complexité) tel que : "plus simples les prémisses, plus riche l'émergence".
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Sapiens
Le contenu et le succès de l'ouvrage Sapiens de Yuval Noah Harari montrent :
- le niveau d'intérêt et de savoir pour/sur lui-même que l'homo sapiens sapiens a progressivement atteint, et ceux de ses travaux et débats à son propre sujet. Le "sachant" aime "savoir", et tout savoir sur son savoir, son cerveau, sa mémoire.
- l'histoire et les grandes étapes de l'histoire de la civilisation, de la raison et de la méthodologie humaine - comme de l'enfance, de la croissance et de la maturité de chacun nous donnent des indications sur la nature et l'évolution de nos besoins en termes d'ingénieries cognitive et sapientielle.
MésoMed ex machina
Il semble que nos premiers méthodologues aient été les mésopotamiens et les méditerranéens. Avec eux nous pouvons séparer méthode et résultat (système de pensée). La pertinence scientifique initiale aux regard de notre paradigme actuel ne conforte pas tant les résultats que la puissance de la méthodologie par rapport à la notre.
Scholastique Indo-Européenne
Débat moderne
Débat public
Situation post-moderne actuelle
Agora numérique
Civilité étendue
Médiation active
Perférent
Blik
Architecture
Cyberagora
DevOps